Lorsque l’on se lance dans un tel projet et de plus sans argent, un tel soutien est reçu comme une bénédiction.
Chaque trimestre ou les 2 mois, la jardinerie fait le point sur ces invendus ou produits abimés et nous les réserve.
Un geste précieux pour nous, sans lequel, nous n’aurions pu planter dans les rues, ni faire plaisir aux commerçants qui ainsi ont pu avoir devant leur boutique, un bout de chaleur. Alors merci Bruno Ricard.